Toute la plaine n'est que guerres et misères,
Champs de cris, forêts de flammes,
Toujours souffre quelqu'un,
Toujours pleure une ombre au loin.
Ils souffrent,
C'est tout, c'est simple, c'est trop.
Ils meurent,
Cri angoissé de l'humanité.
Cri de l'hallali.
Où se trouve l'espoir ?
Il se tait ? Il s'estompe ?
Je suis seul, trop seul.