Étroit chemin, qu'elle est dure,
L'heure des reîtres méchants
Qui tuent femmes et enfants
Dans l'aurore claire et pure
Du bel été !
Tendre chemin, qu'elle est douce,
La musique chaleureuse
D'une farandole heureuse
Du foyer uni où pousse
L'humanité !
Vaste chemin, qu'elle est loin,
L'allée de paix et de raison
Qui mène à cette maison
Qui comble notre besoin
D'éternité !