Poètes, qui tissez l’aurore et les lendemains de nos nuits,
Chantez, hurlez l’espoir qui rugit au fond de nous,
L’espoir de vaincre le dragon, le monstre Moloch Baal
Qui hante nos murs de ses cauchemars immondes,
L’effroyable système du profit, puisqu’il faut le nommer.