Le calme des champs,
La terre à l'infini
Et les merveilles du monde
Pénètrent en moi.
Car tout paysage est symphonie.
Tais-toi, « moi » que je vante
Afin que j'y joigne ma voix
Et devienne mélodie !
Que la terre est belle, qui chante en nous !
Que la vie est belle, qui danse en nous !
Ce doux matin les sanctifie toutes les deux
À grands cris de tristesse et de joie.